CHAUSSIER WILLIAM Contacter l'éleveur

CHAUSSIER WILLIAM

24400 LES LECHES, France

Avec son physique peu commun, le carlin est le compagnon préféré de ceux qui recherchent l’originalité. Mais cela ne doit pas faire oublier qu’il a toutes les qualités d’un bon chien de compagnie.Une « poupée » pour aristoVenu de Chine où son aïeul, le Ha-Pa, était le chien favori des empereurs, le carlin fut importé en pays flamand par des navigateurs hollandais. Il fit aussitôt fureur dans toute la bonne société puis il conquit la cour d’Espagne et la noblesse britannique. Par la Grande-Bretagne, il entra en France où il fut le compagnon de Madame de Pompadour. Jusqu’au début du XXe siècle, il resta auprès des aristocrates. Il était souvent élevé au rang de bouffon ; on le déguisait même parfois avec des petits vêtements pour accentuer son physique original. Au début de la révolution industrielle, l’engouement pour ce chien diminua nettement. Il a repris récemment, grâce à d’autres têtes couronnées comme le duc et la duchesse de Windsor. Son nom lui vient de son masque sombre. Au XVIIIe siècle, un célèbre acteur de la Comedia del Arte, Carlo Betinazzi, tenait le rôle d’Arlequin, dont le visage est traditionnellement toujours noir. En souvenir de cet homme, on surnomma ce chien Carlino (diminutif de Carlo), ce qui donna carlin en français.

Il ronronne comme un chat !Eminemment mondain, le carlin s’ennuie vite si on le laisse seul. En société, il sait tenir sa place, se montre joyeux et se plaît à faire le pitre. Avec son maître, auquel il reste attaché jusqu’à la mort, il est affectueux et caressant comme un chat. D’ailleurs il ronronne ! En fait, il émet de doux grognements modulés quand il est heureux. A la maison, il sert aussi de gardien. Il n’aboie que très rarement mais par ses grognements et son aspect de petit dogue, il sait se montrer dissuasif.

C’est un chien qui aime la ville et s’adapte parfaitement à la vie en appartement. Il déteste tant le sport que ses petites promenades quotidiennes, trois fois par jour, lui suffisent Après ces sorties, on inspecte ses yeux, sensibles à la poussière. Pour les nettoyer, on y verse quelques gouttes de sérum physiologique. Tous les soirs, on doit également nettoyer les plis de sa face avec un coton imbibé de lotion astringente démaquillante et, tous les deux jours, graisser l’intérieur de ses rides avec une pommade (genre crème de beauté ordinaire). En dehors de ces soins, pas de problème, le carlin n’est pas difficile. Il apprécie même les voyages en voiture à la condition que le véhicule soit bien aéré (en été) mais sans courants d’air.

Un physique qui ne laisse personne indifférent

Si nombreux sont ceux qui le trouvent assez laid, il déclenche pourtant de véritables coups de foudre. Le carlin ressemble un peu à un mastiff ou à un bull-dog en modèle réduit puisque son poids n’excède pas plus de 10 kilos pour une taille moyenne de 30 cm au garrot. Sa grosse tête, au museau écrasé mais surtout pas retroussé, est marquée de rides profondes qui lui donnent un air perpétuellement préoccupé. Pourtant ses yeux proéminents brillent et pétillent sans cesse. Ses oreilles, douces et petites, sont dites en “rose” (dégagées sur les côtés et laissant voir le conduit auditif) ou, mieux, en “bouton de rose” (la même forme mais nettement plus marquée.

Compact et musclé, il se caractérise aussi par sa queue enroulée sur le dos ou la hanche. L’idéal est qu’elle fasse deux tours sur elle-même. La robe à poil ras argent, abricot, beige ou noir, a des couleurs bien franches, faisant nettement contraste avec sa face noire.

Des petits chiens gais , joyeux et plein de tendresse et d’amour

Avec son physique peu commun, le carlin est le compagnon préféré de ceux qui recherchent l’originalité. Mais cela ne doit pas faire oublier qu’il a toutes les qualités d’un bon chien de compagnie.Une « poupée » pour aristoVenu de Chine où son aïeul, le Ha-Pa, était le chien favori des empereurs, le carlin fut importé en pays flamand par des navigateurs hollandais. Il fit aussitôt fureur dans toute la bonne société puis il conquit la cour d’Espagne et la noblesse britannique. Par la Grande-Bretagne, il entra en France où il fut le compagnon de Madame de Pompadour. Jusqu’au début du XXe siècle, il resta auprès des aristocrates. Il était souvent élevé au rang de bouffon ; on le déguisait même parfois avec des petits vêtements pour accentuer son physique original. Au début de la révolution industrielle, l’engouement pour ce chien diminua nettement. Il a repris récemment, grâce à d’autres têtes couronnées comme le duc et la duchesse de Windsor. Son nom lui vient de son masque sombre. Au XVIIIe siècle, un célèbre acteur de la Comedia del Arte, Carlo Betinazzi, tenait le rôle d’Arlequin, dont le visage est traditionnellement toujours noir. En souvenir de cet homme, on surnomma ce chien Carlino (diminutif de Carlo), ce qui donna carlin en français.

Il ronronne comme un chat !Eminemment mondain, le carlin s’ennuie vite si on le laisse seul. En société, il sait tenir sa place, se montre joyeux et se plaît à faire le pitre. Avec son maître, auquel il reste attaché jusqu’à la mort, il est affectueux et caressant comme un chat. D’ailleurs il ronronne ! En fait, il émet de doux grognements modulés quand il est heureux. A la maison, il sert aussi de gardien. Il n’aboie que très rarement mais par ses grognements et son aspect de petit dogue, il sait se montrer dissuasif.

C’est un chien qui aime la ville et s’adapte parfaitement à la vie en appartement. Il déteste tant le sport que ses petites promenades quotidiennes, trois fois par jour, lui suffisent Après ces sorties, on inspecte ses yeux, sensibles à la poussière. Pour les nettoyer, on y verse quelques gouttes de sérum physiologique. Tous les soirs, on doit également nettoyer les plis de sa face avec un coton imbibé de lotion astringente démaquillante et, tous les deux jours, graisser l’intérieur de ses rides avec une pommade (genre crème de beauté ordinaire). En dehors de ces soins, pas de problème, le carlin n’est pas difficile. Il apprécie même les voyages en voiture à la condition que le véhicule soit bien aéré (en été) mais sans courants d’air.

Un physique qui ne laisse personne indifférent

Si nombreux sont ceux qui le trouvent assez laid, il déclenche pourtant de véritables coups de foudre. Le carlin ressemble un peu à un mastiff ou à un bull-dog en modèle réduit puisque son poids n’excède pas plus de 10 kilos pour une taille moyenne de 30 cm au garrot. Sa grosse tête, au museau écrasé mais surtout pas retroussé, est marquée de rides profondes qui lui donnent un air perpétuellement préoccupé. Pourtant ses yeux proéminents brillent et pétillent sans cesse. Ses oreilles, douces et petites, sont dites en “rose” (dégagées sur les côtés et laissant voir le conduit auditif) ou, mieux, en “bouton de rose” (la même forme mais nettement plus marquée.

Compact et musclé, il se caractérise aussi par sa queue enroulée sur le dos ou la hanche. L’idéal est qu’elle fasse deux tours sur elle-même. La robe à poil ras argent, abricot, beige ou noir, a des couleurs bien franches, faisant nettement contraste avec sa face noire.

Des petits chiens gais , joyeux et plein de tendresse et d’amour

Avec son physique peu commun, le carlin est le compagnon préféré de ceux qui recherchent l’originalité. Mais cela ne doit pas faire oublier qu’il a toutes les qualités d’un bon chien de compagnie.Une « poupée » pour aristoVenu de Chine où son aïeul, le Ha-Pa, était le chien favori des empereurs, le carlin fut importé en pays flamand par des navigateurs hollandais. Il fit aussitôt fureur dans toute la bonne société puis il conquit la cour d’Espagne et la noblesse britannique. Par la Grande-Bretagne, il entra en France où il fut le compagnon de Madame de Pompadour. Jusqu’au début du XXe siècle, il resta auprès des aristocrates. Il était souvent élevé au rang de bouffon ; on le déguisait même parfois avec des petits vêtements pour accentuer son physique original. Au début de la révolution industrielle, l’engouement pour ce chien diminua nettement. Il a repris récemment, grâce à d’autres têtes couronnées comme le duc et la duchesse de Windsor. Son nom lui vient de son masque sombre. Au XVIIIe siècle, un célèbre acteur de la Comedia del Arte, Carlo Betinazzi, tenait le rôle d’Arlequin, dont le visage est traditionnellement toujours noir. En souvenir de cet homme, on surnomma ce chien Carlino (diminutif de Carlo), ce qui donna carlin en français.

Il ronronne comme un chat !Eminemment mondain, le carlin s’ennuie vite si on le laisse seul. En société, il sait tenir sa place, se montre joyeux et se plaît à faire le pitre. Avec son maître, auquel il reste attaché jusqu’à la mort, il est affectueux et caressant comme un chat. D’ailleurs il ronronne ! En fait, il émet de doux grognements modulés quand il est heureux. A la maison, il sert aussi de gardien. Il n’aboie que très rarement mais par ses grognements et son aspect de petit dogue, il sait se montrer dissuasif.

C’est un chien qui aime la ville et s’adapte parfaitement à la vie en appartement. Il déteste tant le sport que ses petites promenades quotidiennes, trois fois par jour, lui suffisent Après ces sorties, on inspecte ses yeux, sensibles à la poussière. Pour les nettoyer, on y verse quelques gouttes de sérum physiologique. Tous les soirs, on doit également nettoyer les plis de sa face avec un coton imbibé de lotion astringente démaquillante et, tous les deux jours, graisser l’intérieur de ses rides avec une pommade (genre crème de beauté ordinaire). En dehors de ces soins, pas de problème, le carlin n’est pas difficile. Il apprécie même les voyages en voiture à la condition que le véhicule soit bien aéré (en été) mais sans courants d’air.

Un physique qui ne laisse personne indifférent

Si nombreux sont ceux qui le trouvent assez laid, il déclenche pourtant de véritables coups de foudre. Le carlin ressemble un peu à un mastiff ou à un bull-dog en modèle réduit puisque son poids n’excède pas plus de 10 kilos pour une taille moyenne de 30 cm au garrot. Sa grosse tête, au museau écrasé mais surtout pas retroussé, est marquée de rides profondes qui lui donnent un air perpétuellement préoccupé. Pourtant ses yeux proéminents brillent et pétillent sans cesse. Ses oreilles, douces et petites, sont dites en “rose” (dégagées sur les côtés et laissant voir le conduit auditif) ou, mieux, en “bouton de rose” (la même forme mais nettement plus marquée.

Compact et musclé, il se caractérise aussi par sa queue enroulée sur le dos ou la hanche. L’idéal est qu’elle fasse deux tours sur elle-même. La robe à poil ras argent, abricot, beige ou noir, a des couleurs bien franches, faisant nettement contraste avec sa face noire.

Des petits chiens gais , joyeux et plein de tendresse et d’amour

Avec son physique peu commun, le carlin est le compagnon préféré de ceux qui recherchent l’originalité. Mais cela ne doit pas faire oublier qu’il a toutes les qualités d’un bon chien de compagnie.Une « poupée » pour aristoVenu de Chine où son aïeul, le Ha-Pa, était le chien favori des empereurs, le carlin fut importé en pays flamand par des navigateurs hollandais. Il fit aussitôt fureur dans toute la bonne société puis il conquit la cour d’Espagne et la noblesse britannique. Par la Grande-Bretagne, il entra en France où il fut le compagnon de Madame de Pompadour. Jusqu’au début du XXe siècle, il resta auprès des aristocrates. Il était souvent élevé au rang de bouffon ; on le déguisait même parfois avec des petits vêtements pour accentuer son physique original. Au début de la révolution industrielle, l’engouement pour ce chien diminua nettement. Il a repris récemment, grâce à d’autres têtes couronnées comme le duc et la duchesse de Windsor. Son nom lui vient de son masque sombre. Au XVIIIe siècle, un célèbre acteur de la Comedia del Arte, Carlo Betinazzi, tenait le rôle d’Arlequin, dont le visage est traditionnellement toujours noir. En souvenir de cet homme, on surnomma ce chien Carlino (diminutif de Carlo), ce qui donna carlin en français.

Il ronronne comme un chat !Eminemment mondain, le carlin s’ennuie vite si on le laisse seul. En société, il sait tenir sa place, se montre joyeux et se plaît à faire le pitre. Avec son maître, auquel il reste attaché jusqu’à la mort, il est affectueux et caressant comme un chat. D’ailleurs il ronronne ! En fait, il émet de doux grognements modulés quand il est heureux. A la maison, il sert aussi de gardien. Il n’aboie que très rarement mais par ses grognements et son aspect de petit dogue, il sait se montrer dissuasif.

C’est un chien qui aime la ville et s’adapte parfaitement à la vie en appartement. Il déteste tant le sport que ses petites promenades quotidiennes, trois fois par jour, lui suffisent Après ces sorties, on inspecte ses yeux, sensibles à la poussière. Pour les nettoyer, on y verse quelques gouttes de sérum physiologique. Tous les soirs, on doit également nettoyer les plis de sa face avec un coton imbibé de lotion astringente démaquillante et, tous les deux jours, graisser l’intérieur de ses rides avec une pommade (genre crème de beauté ordinaire). En dehors de ces soins, pas de problème, le carlin n’est pas difficile. Il apprécie même les voyages en voiture à la condition que le véhicule soit bien aéré (en été) mais sans courants d’air.

Un physique qui ne laisse personne indifférent

Si nombreux sont ceux qui le trouvent assez laid, il déclenche pourtant de véritables coups de foudre. Le carlin ressemble un peu à un mastiff ou à un bull-dog en modèle réduit puisque son poids n’excède pas plus de 10 kilos pour une taille moyenne de 30 cm au garrot. Sa grosse tête, au museau écrasé mais surtout pas retroussé, est marquée de rides profondes qui lui donnent un air perpétuellement préoccupé. Pourtant ses yeux proéminents brillent et pétillent sans cesse. Ses oreilles, douces et petites, sont dites en “rose” (dégagées sur les côtés et laissant voir le conduit auditif) ou, mieux, en “bouton de rose” (la même forme mais nettement plus marquée.

Compact et musclé, il se caractérise aussi par sa queue enroulée sur le dos ou la hanche. L’idéal est qu’elle fasse deux tours sur elle-même. La robe à poil ras argent, abricot, beige ou noir, a des couleurs bien franches, faisant nettement contraste avec sa face noire.

Des petits chiens gais , joyeux et plein de tendresse et d’amour

 
 
 

Nous habitons un petit coin de paradis ou nos carlins vivent dans un parc verdoyant et arboré. Les bébés sont élevés avec notre tribu humaine Ce qui en fait de joyeux petits lutins

Nous mettons un point d’honneur à selectionner nos chiens et travaillons avec des éleveurs étrangers pour avoir le carlin le plus proche du standar de la race.

Nous avons fait des saillies en Argentine, Etats-Unis… sélectionner des chiens en Hongrie, Russie, Canada, Etats-unis, Pologne……..Pour que nos bébinoux soient beaux et en super forme

Plusieurs champions sont dans l’élevages car nous parcourons le monde avec nos carlins en expositions canines et échangeons avec lles éleveurs que nous rencontrons . Ce qui nous permet également de travailler avec eux

Afficher plus

L’expertise de l’éleveur

Carlin

le chien pug qui ronfle très attachant

Les dernières annonces similaires

LOF image 0
Carlin

DU CHEVALIER DE ST MAXIME (77)

0 mâle 1 femelle à partir de 2 200€
Carlin (apparence)

DOMAINE DES CHI’C BULLS (02)

0 mâle 1 femelle à partir de 1 000€
LOF
Carlin

DU DOMAINE DE LORIEN (58)

2 mâles 2 femelles à partir de 1 800€
LOF
Carlin

DU CHEVALIER DE ST MAXIME (77)

1 mâle 1 femelle à partir de 2 000€

S’engager avec un chien

Un coup de coeur n’est pas suffisant. Adopter un chiot de manière responsable, c’est s’engager pour toute la vie de l’animal en lui apportant tout l’amour, le temps, les soins, l’alimentation et le bien-être qu’il mérite. Avant d’adopter un chiot, prenez le temps de vous poser les bonnes questions.

En savoir plus

Enregistrer une annonce

Pour enregister et gérer vos annonces favorites, connectez-vous à votre espace personnel ou créez votre compte.

Se connecter

Je suis nouveau ici

La création d'un compte vous permet d'accéder à l'ensemble de nos services : gestion des favoris, activation d'alertes mail, conseils sur l'adoption...

Créer mon compte